ATELIER DE FORMATION SUR LA COVID-19 ET SON IMPACT SUR LE VIH, LA TUBERCULOSE ET LE PALUDISME

 

Dans le cadre de la lutte contre la COVID-19 dans notre pays, un atelier de formation sur la COVID-19 et son impact sur le VIH, la Tuberculose et le Paludisme, a été organisé du 04 au 07 juillet 2022 par le Réseau National pour la Promotion de la Santé Sexuelle et reproductive des Adolescents et des Jeunes (RENAPS/AJ) avec l’appui du Fonds Mondial de Lutte contre le VIH, la Tuberculose et le paludisme.

Plus de 80 personnes représentant les communicateurs, influenceurs et relais communautaires des différentes provinces du pays ont participé à cet atelier qui visait d’une part, l’actualisation des connaissances sur la COVID-19 et ses effets et d’autre part, la vulgarisation des messages clés afin de mettre à la disposition des impétrants, les éléments de langages pertinents qui leur permettront de répondre aisément aux questions d’intérêt des communautés lors des sensibilisations.

Au cours de la formation, un accent particulier a été mis sur le rôle déterminant des relais sur l'appropriation des interventions par les communautés qui permet le maintien des comportements favorables à la prévention et à la lutte contre ces différentes maladies.


Les formateurs issus des programmes nationaux du Ministère de la Santé, de la société civile et de la CREC du Copil, ont axés leur communication entre autre sur:
- Les généralités sur la COVID-19 ;
- La situation épidémiologique dans le monde, en Afrique et au Gabon ;
- L’impact de la COVID-19 sur les trois pathologies précitées;
- Les facteurs de risque de la COVID-19 ;
- La vaccination contre la COVID-19 ;
- Les messages clés;
- L’engagement communautaire.

Il convient de préciser que cette activité qui intervient au moment où notre pays fait face à une résurgence des cas de contamination, rentre dans le cadre du mécanisme de riposte contre la covid-19 mis en place par le Fonds Mondial afin d’aider le Gabon à atténuer l’impact de cette maladie sur le VIH, la tuberculose et le paludisme et permet d’impliquer davantage les relais communautaires dans la lutte contre la COVID-19.